Noël arrive à grands pas et il est temps de se munir d’un sapin !

L’origine de l’arbre de Noël date d’entre 2000 et 1200 avant JC. Il s’agissait déjà d’un épicéa (arbre de l’enfantement), le jour du 24 décembre, car on considérait ce jour comme la renaissance du soleil. En effet, le calendrier celtique étant basé sur les cycles lunaires, et chaque mois lunaire étant associé à un arbre ; l’épicéa fut celui du 24 décembre.

A la fin du VIIème siècle, on raconte qu’un moine évangélisateur, Saint Boniface, voulait convaincre les druides germains, que le chêne n’était pas un arbre sacré. De ce fait, il fit en abattre un. « En tombant, l’arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage à l’exception d’un jeune sapin« . Saint Boniface qualifia ce hasard pur de miracle et déclara dans sa même prédiction : « Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’enfant Jésus« .

Puis, c’est en Alsace vers 1521 que l’étoile (symbole de l’étoile de Bethlehem) fit son apparition au sommet de l’arbre.

Ce sont enfin, les protestants en 1560, qui développèrent la tradition du sapin de Noël afin de se démarquer des catholiques.

Quelques exemples de sapins naturels les plus appréciés et, je pense, les plus intéressants :

• LE NORDMANN (Géorgie) : Ses aiguilles souples et douces sur des branches régulières, son odeur, ainsi que sa bonne résistance à la chaleur en font l’un des sapins les plus demandés.
• L’EPICEA (Haut Jura) : « L’arbre de la naissance » et sapin traditionnel. Bien équilibré de la base à la cime, ce sapin robuste et fourni possède des branches à fines aiguilles. Cependant, il dispose d’une faible résistance à la chaleur.
• Le GRANDIS ou SAPIN DE VANCOUVER : Ce récent conifère, dont la forme élancée à longues aiguilles plates et souples, ainsi que sa légère odeur de citronnelle, le démarquent des autres.
• LE PUNGENS (Colorado) : Généralement d’une couleur bleu argenté, il est moins présent que les NORDMANN dans les marchés à cause de ses aiguilles rigides et piquantes. Malgré tout, il possède une bonne résistance à la chaleur ainsi qu’une douce odeur de pin.

Les sapins floqués réalisés à partir des sapins naturels de premier choix, sont recouverts d’une neige artificielle qui leur permet une grande résistante.

Les sapins artificiels sont très rentables sur le long terme parce qu’ils sont réutilisables. De plus, ils sont de plus en plus réalistes et il en existe de toutes sortes tels que les sapins géants, les mini sapins, les sapins de luxe, les sapins de couleur, les sapins de couleur métallisée, les traditionnels, les sapins inversés à suspendre etc…

Pour celles qui manquent de temps ou d’idées de déco, des sapins prêts à l’emploi sont disponibles dans les magasins ou sur la toile. Il sont entièrement décorés. Les plus prisés, sont les sapins avec LED et sapins en fibre optique qui sont plus ou moins onéreux mais si jolis et si pratiques.

Enfin, les dernières nouveautés, sont les sapins en LED et les sapins lumineux très design mais aussi plutôt chers.

Il faut savoir que les sapins naturels coûtent entre 40€ et 200€, les sapins artificiels de 20€ à 150€. Les plus chers étant les sapins en LED et les sapins Lumineux.

Pour les tendances déco de cet hiver, ce sont les sapins décorés tout en blanc, noir et blanc, chocolat et blanc cassé, argent et transparent, or et rouge, bronze et doré.

J’ai réalisé un de mes rêves en voyageant à TOKYO.

En effet, ayant grandi dans l’univers Manga, j’apprécie énormément la culture japonaise, la nourriture, les paysages…

Tout d’abord, il faut savoir que les japonais ne parlent généralement pas de langues étrangères, même l’anglais et voyager avec quelqu’un qui parle japonais est très appréciable voire nécessaire.

Il faut compter 3 à 4 jours pour visiter Tokyo (anciennement EDO) car cette Capitale possède plusieurs arrondissements ou quartiers, tous aussi intéressants les uns que les autres.

SHINJUKU est à la fois l’un des plus grands quartiers et l’un des plus animés de Tokyo. C’est un centre d’affaires important, un quartier de gratte-ciels, de grands magasins, de cinémas, de grands hôtels, bars, cafés et  restaurants. Il est très populaire et c’est le premier quartier que l’on visite généralement.

Dans la même lignée, SHIBUYA, est un quartier jeune et dynamique connu pour son célèbre carrefour et ses grands écrans. Shibuya Center Gai, est la rue piétonne entièrement dédiée à la jeunesse. Cette dernière regorge de boutiques de modes, de fast-food et de centres de jeux. A cet endroit même, apparaissent les nouvelles tendances qui se répandent rapidement chez les jeunes. C’est un des quartiers que j’ai le plus apprécié et qui est pour moi, incontournable.

HARAKUJU est le centre de la culture et de la mode pour les adolescents. Celui-ci se situe principalement dans la rue Takeshita Dôri et ses rues latérales, dont les boutiques de vêtements neufs et d’occasion branchés sont bondées. Le dimanche près de la station de Harajuku, se rassemblent de nombreux lycéens ou collégiens, vêtus de costumes extravagants, les fameux « cosplay » (costume play), qui s’inspirent des personnages de dessins animés, de manga, de musiciens gothiques, etc.

Concernant le shopping, GINZA, IKEBUKURO et ROPPONGI sont les quartiers adéquats. Ginza est un quartier où sont réunis les marques de mode les plus renommées, les grands magasins de luxe, les bijoutiers,  ainsi que les restaurants, bars et cafés les plus raffinés.

Si vous êtes fan de mangas et de jap-animations, n’hésitez pas foncer à AKIHABARA, qui est le quartier où se situent les boutiques de mangas, de jeux vidéo.

Si vous souhaitez visiter les musées et/ou les temples, rendez- vous à ROPPONGI, UENO, ASAKUSA (Temple Sensô-Ji, Vieux Tokyo) et RYÔGOKU.

L’on peut visiter également le quartier d’OMOTESANDO pour son architecture, KAGURAZAKA pour son authenticité et ses ruelles étroites traditionnelles, MARUNOUCHI pour sa gare ferroviaire, ou encore YANAKA, et SENDAGI pour l’atmosphère qu’ils dégagent.

La meilleure partie de ce voyage pour une épicurienne comme moi est la gastronomie japonaise ; cuisine raffinée et diversifiée, la cuisine japonaise répond à tous les goûts et à toutes les envies : Sushi, okonomiyaki, ramen, yakitori, tempura, teppanyaki, soba, Sukiyaki… Oishi desu !

Je n’ai plus qu’une seule envie maintenant : Découvrir les autres endroits de ce magnifique pays : Honshu, Kyoto, Okinawa etc…

La cuisine thailandaise  est considérée, pour beaucoup, comme la cuisine gastronomique de l’Asie.

En effet, elle est très variée, savoureuse et d’une grande finesse !

Jadis, elle était composée de 2 sortes des mets bien distincts : la cuisine de la rue et la cuisine Royale (pour la famille royale uniquement).

De nos jours, la cuisine royale thaï est accessible à tous.

Tout d’abord, il faut savoir qu’un repas thailandais ne se mange pas avec des baguettes mais avec une fourchette et une cuillère. Le couteau n’est pas utilisé pour la simple et bonne raison que les aliments sont servis déjà coupés finement.

Quelques aliments de base :

• Les nouilles de riz thaïlandaises : le Phad Thai est un plat très populaire à base de nouilles de riz plates et fines qui peut être préparé de bien des façons (crevettes, porc, poulet, sauce soja, etc…)
• Les curry traditionnels thaï (Khaeng Som) : Ils sont réputés pour leur goût intensément épicé. Il existe plusieurs types de curry : Le Curry jaune  traditionnel ou orange (khaeng Som ou khaeng Luang), le Curry rouge (très apprécié) et le Curry vert (très très pimenté).  La pâte de Curry est composé d’un mélanges d’épices différentes : petits piments rouges, piments verts, piments oiseaux, citron vert, ail, safran, sel, coriandre, papaye …   le Poulet au Curry vert et aux petites aubergines thaï (Khaeng keow Nan Kaï) ainsi que le Canard au Curry rouge (Panang pad) sont des plats incontournables.

la cuisine du Sud de la Thaïlande  est connue pour être la plus épicée. Elle est fortement influencée par  les poissons, crustacés, fruits et légumes ainsi que par la Malaisie.

• Le khao Yam : riz bouilli mélangé à la sauce budu (sauce typique du sud très pimentée à base  de sauce de poisson « Nuoc -mâm« )

La cuisine du Nord-est (Issan) très épicée aussi, est influencée par la cuisine vietnamienne et laotienne. les spécialités comme la salade de papaye verte (Som Tam), le riz gluant (Khao Niao), la salade de boeuf  grillé (Nua Nam Tok) sont des plats très populaires.

Le riz gluant à la mangue (Khao Niao Mamuang ) est le dessert incontournable de la Thaïlande ! Vraiment unique et tellement bon !

En france, il est heureusement possible de goûter à la vrai cuisine thaï grâce à quelques restaurants typiquement thaï se situant dans les grandes villes.  Le Blue Elephant à Paris et à Lyon, est un restaurant qui propose la cuisine royale thaï, les aliments sont importés directement de Thaïlande.

Attentionà ne pas confondre un restaurant chinois qui propose de la « soi-disante » cuisine thaï avec un vrai restaurant Thaïlandais !

La cuisine japonaise est considérée, au Japon, non seulement comme un art, une culture, mais aussi comme la cuisine « la plus saine » au monde.

En effet, une des raisons de la longévité du peuple japonais, est la nourriture.   Ex :

• Le sashimi (poisson cru) est riche en ADH(acide docosahexaënoïque), qui contribue à prévenir la démence, ainsi qu’en AEP(acide eicosapentaéonïque), agent activant de la circulation sanguine.
• Le riz (gohan), aliment de base de l’alimentation japonaise, grâce à ses oligosaccharides, est bénéfique pour les intestins. Il contient aussi des vitamines B et du Zinc.
• La soupe miso est la soupe indispensable pour tout repas au Japon. Sa combinaison d’algues wakamé, de tofu ainsi que de miso (fèves de soja fermentées), enrichit ce plat de calcium, de protéines, de minéraux et d’acides aminés.
• Le thé vert est un puissant anti-oxydant aidant à combattre, le cancer, le vieillissement cutané, et bien d’autres maladies du quotidien grâce à sa concentration de catéchine.

Le bento (lunch set) est un assortiment de plats (sashmi, tempura, gyoza, etc…) servis dans un coffret en bois laqué. Il est généralement consommé au travail ou à l’école pour le déjeuner. C’est un repas complet et équilibré.

La nouvelle cuisine japonaise (riche en oméga 3) a donc pour base, la cuisine traditionnelle japonaise, mais allie aussi esthétisme, goût et bien-être.

Il existe par ailleurs, des régimes à base de cuisine japonaise. Il est possible de les consulter dans des livres culinaires, ou encore sur le net.

Les boutiques d’alimentation japonaise se situent un peu partout dans l’hexagone, mais aussi en ligne.