Une de mes amies devait se rendre à SHANGHAI pour affaires pour sa seconde activité professionnelle.

Cependant, elle ne connaissait pas les démarches pour obtenir le visa adapté à sa situation, ni où elle devait s’adresser. Bien entendu, elle savait qu’il fallait aller à l’Ambassade de Chine à Paris, mais celle-ci n’est ouverte au publique que le matin et mon amie n’avait pas le temps de s’y rendre pendant les heures de bureau.

Donc, après quelques recherches, nous avons trouvé les informations utiles que nous cherchions.

En effet, il existe différents types de de visa pour aller en Chine : Le visa Affaires « F » délivrés aux étrangers sur invitation pour effectuer du commerce, dont le séjour ne doit pas excéder 6 mois ; le visa Travail « Z » qui concerne les ressortissants venant occuper un poste en Chine.

Nous avons également trouvé une agence en ligne qui s’occupe de faire toutes les démarches auprès de l’ambassade chinoise à votre place. Il a juste suffit à mon amie de leur donner les documents demandés, et de payer en ligne. En seulement quelques jours, un coursier est venu lui apporter son visa chez elle. Elle n’a pas eu besoin de se déplacer, d’attendre pendant un temps indéfini à l’Ambassade, et donc de poser 1/2 journée de congés auprès de son employeur.

Bref, grâce à cette agence, elle a gagné un temps considérable, et a reçu de bons conseils en seulement quelques clics.

Les supermarchés n’ont qu’à bien se tenir ! En effet, sont nombreuses les personnes qui n’ont soit pas le temps, soit pas l’envie d’aller faire ses courses dans les magasins.

Grâce à Internet, il est maintenant possible de faire ses courses de chez soi puis de se faire livrer.

Des nouveaux tels que « Telemarket », « courses en lignes », ou « ooshop » se sont déjà fait une place dans ce domaine.

C’est pourquoi les grands de la distribution ont décider de contre-attaquer de 2 façons différentes : la livraison à domicile et le course drive (Leclerc) dont le principe du dernier consiste à passer commande de chez soi , puis de passer chercher ses courses qu’un employer du magasin aura  préparé au préalable. Très rapide et efficace !

Personnellement, j’ai déjà testé la livraison à domicile avec « Picard Surgelés », et j’avoue que c’est très pratique, notamment lorsqu’il manque certains produits en magasin.

J’ai réalisé un de mes rêves en voyageant à TOKYO.

En effet, ayant grandi dans l’univers Manga, j’apprécie énormément la culture japonaise, la nourriture, les paysages…

Tout d’abord, il faut savoir que les japonais ne parlent généralement pas de langues étrangères, même l’anglais et voyager avec quelqu’un qui parle japonais est très appréciable voire nécessaire.

Il faut compter 3 à 4 jours pour visiter Tokyo (anciennement EDO) car cette Capitale possède plusieurs arrondissements ou quartiers, tous aussi intéressants les uns que les autres.

SHINJUKU est à la fois l’un des plus grands quartiers et l’un des plus animés de Tokyo. C’est un centre d’affaires important, un quartier de gratte-ciels, de grands magasins, de cinémas, de grands hôtels, bars, cafés et  restaurants. Il est très populaire et c’est le premier quartier que l’on visite généralement.

Dans la même lignée, SHIBUYA, est un quartier jeune et dynamique connu pour son célèbre carrefour et ses grands écrans. Shibuya Center Gai, est la rue piétonne entièrement dédiée à la jeunesse. Cette dernière regorge de boutiques de modes, de fast-food et de centres de jeux. A cet endroit même, apparaissent les nouvelles tendances qui se répandent rapidement chez les jeunes. C’est un des quartiers que j’ai le plus apprécié et qui est pour moi, incontournable.

HARAKUJU est le centre de la culture et de la mode pour les adolescents. Celui-ci se situe principalement dans la rue Takeshita Dôri et ses rues latérales, dont les boutiques de vêtements neufs et d’occasion branchés sont bondées. Le dimanche près de la station de Harajuku, se rassemblent de nombreux lycéens ou collégiens, vêtus de costumes extravagants, les fameux « cosplay » (costume play), qui s’inspirent des personnages de dessins animés, de manga, de musiciens gothiques, etc.

Concernant le shopping, GINZA, IKEBUKURO et ROPPONGI sont les quartiers adéquats. Ginza est un quartier où sont réunis les marques de mode les plus renommées, les grands magasins de luxe, les bijoutiers,  ainsi que les restaurants, bars et cafés les plus raffinés.

Si vous êtes fan de mangas et de jap-animations, n’hésitez pas foncer à AKIHABARA, qui est le quartier où se situent les boutiques de mangas, de jeux vidéo.

Si vous souhaitez visiter les musées et/ou les temples, rendez- vous à ROPPONGI, UENO, ASAKUSA (Temple Sensô-Ji, Vieux Tokyo) et RYÔGOKU.

L’on peut visiter également le quartier d’OMOTESANDO pour son architecture, KAGURAZAKA pour son authenticité et ses ruelles étroites traditionnelles, MARUNOUCHI pour sa gare ferroviaire, ou encore YANAKA, et SENDAGI pour l’atmosphère qu’ils dégagent.

La meilleure partie de ce voyage pour une épicurienne comme moi est la gastronomie japonaise ; cuisine raffinée et diversifiée, la cuisine japonaise répond à tous les goûts et à toutes les envies : Sushi, okonomiyaki, ramen, yakitori, tempura, teppanyaki, soba, Sukiyaki… Oishi desu !

Je n’ai plus qu’une seule envie maintenant : Découvrir les autres endroits de ce magnifique pays : Honshu, Kyoto, Okinawa etc…

Hier soir, je n’avais pas particulièrement envie de cuisiner et de tout manière, mon frigo était presque vide. Quant-à sortir seule au restaurant, non merci !

Alors que j’hésitai encore à ressortir sous la pluie pour faire les courses, je me suis souvenue de ce site internet dont m’avait parlé une copine : Taxiresto. D’après elle, c’était un concept génial et super pratique ! De ce fait, j’ai décidé de me faire ma propre idée.

Je me suis donc rendue sur le site internet et j’ai rentré mon code postal. Là, j’ai vu s’afficher tout une liste de restaurants. J’ai été drôlement surprise pas le choix : pizzas, hamburgers, sushis, pâtes, cuisine marocaine, indienne, chinoise et j’en passe !

J’ai donc opté pour un restaurant japonnais à deux pas de chez moi et j’ai choisi à l’aide de la carte un assortiment de sushis.

Puis, j‘ai payé en ligne par Paypal, mais il est aussi possible de régler par carte bancaire ou à la réception de la commande par chèque ou en espèce.

De plus, la livraison est offerte, je n’ai donc eu aucune surprise sur la facture.

Un livreur est venu sonner à ma porte 40 minutes plus tard pour m’apporter ma commande. Je me suis régalée et autre point positif, j’ai pas eu à faire la vaisselle.

Par la suite, je me suis rendue sur le Facebook du site et j’ai remarqué que des petits concours étaient très souvent organisés pour gagner des bons d’achats.

Etant très satisfaite, je pense renouveler l’expérience prochainement !

Une des dernières tendances en matière de bijoux est la création artisanale de colliers, de bracelets ou encore de bagues ornés de « perles magiques » ou « perles miracles« .

La différence entre la perle magique et la perle miracle est infime. En effet, les deux ont un coeur en acrylique recouvert de plusieurs couches de peinture puis vernis.

La première est fabriquée en Chine, alors que la dernière est fabriquée au Japon selon un procédé exclusif lui donnant un effet  » perle dans la perle« . La qualité des perles magiques chinoises est moindre, surtout aux abords du trou.

Je trouve personnellement que ces perles sont vraiment magnifiques en colliers et en bracelets. De plus, il est possible de les porter avec n’importe quelle tenue et en n’importe quelle circonstance car il en existe de toutes les couleurs. Il est donc facile de les assortir à vos vêtements préférés.

Vous pouvez acheter les perles miracles en ligne avec les accessoires afin de créer vous-même vos bijoux, ou vous pouvez acheter les colliers ou bracelets directement sur internet ou dans les boutiques spécialisées.

D’ailleurs, une de mes amies confectionne elle-même des colliers et bracelets en perles miracles du Japon. Et je ne peux m’empêcher de lui faire un peu de pub car ses modèles (voir photo ci-dessous) sont vraiment incroyablement beaux.

Pour plus d’information, vous pouvez contacter « Bijoux Créamiracle » par téléphone au 06.32.50.43.16 ou encore  à l’adresse e-mail : o-rely@wanadoo.fr. Les prix débutent à partir de 10 €.

Pour celles qui aimeraient se mettre « à leur compte » ( chambres d’hôtes, boutique en ligne, service à la personne, etc…) mais qui ont peur des contraintes que cela engendre, il existe une solution !

En effet, la Loi de Modernisation de l’Economie du 04/08/08, instaure le statut de l’auto-entrepreneur (loi ayant pris effet au 01/01/09).

Ce régime s’adresse aux personnes qui ne souhaitent pas forcément créer une société commerciale afin d’exercer leur nouvelle activité et désirent avoir la possibilité de débuter ou arrêter aisément leur activité (chômeur, étudiant, salarié, retraité etc…).

Concernant les charges sociales et fiscales ; elles sont calculées sur le Chiffre d’Affaires, et payées par prélèvement libératoire mensuellement ou trimestriellement.

Donc :  SI PAS DE CHIFFRE D’AFFAIRES = PAS DE CHARGES SOCIALES NI D’IMPOTS

Autres avantages :

• Dispense d’inscription au Registre du Commerce des Sociétés ou au Registre des Métiers (sauf professions libérales).
• Création et radiation rapides et simplifiées (possible par internet).
• Une simple déclaration chez un notaire suffira à rendre insaisissables tous les biens fonciers (Résidence Principale comprise) dans la mesure où ils ne sont pas affectés à l’usage professionnel.
• L’autorisation administrative en cas d’utilisation de son domicile en rez-de-chaussée en tant que local professionnel est supprimée (activité commerciale comprise).

Le régime sera obligatoirement en Entreprise Individuelle (E.I) et accessible uniquement aux entreprises ayant un Chiffre d’Affaires annuel maximum de :

• 80 000€ HT (activités de vente de marchandises, d’objets, de fournitures, de denrées à consommer sur place ou à emporter)
• 32 000€ HT (Prestations de services relevant de la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC) ou des Bénéfices Non Commerciaux (BNC).

Enfin, ce n’est plus aussi compliqué, contraignant, décourageant voire dangereux de créer sa petite entreprise !

Attention, la tendance de la saison printemps-été 2009, est à la robe longue serrée ou soulignée sous poitrine (style « empire »). Et oui, pour celles qui n’aiment pas les robes courtes, ça tombe bien !!!

En effet, toutes les marques de vêtements auront dans leur collection, des robes longues (niveau chevilles) de toutes sortes : sobres, flashy, tie and die, bariolées, volantées…

Et bien entendu,  l’accessoire indispensable sera la paire d’espadrilles ou de sandales compensées !

La cuisine japonaise est considérée, au Japon, non seulement comme un art, une culture, mais aussi comme la cuisine « la plus saine » au monde.

En effet, une des raisons de la longévité du peuple japonais, est la nourriture.   Ex :

• Le sashimi (poisson cru) est riche en ADH(acide docosahexaënoïque), qui contribue à prévenir la démence, ainsi qu’en AEP(acide eicosapentaéonïque), agent activant de la circulation sanguine.
• Le riz (gohan), aliment de base de l’alimentation japonaise, grâce à ses oligosaccharides, est bénéfique pour les intestins. Il contient aussi des vitamines B et du Zinc.
• La soupe miso est la soupe indispensable pour tout repas au Japon. Sa combinaison d’algues wakamé, de tofu ainsi que de miso (fèves de soja fermentées), enrichit ce plat de calcium, de protéines, de minéraux et d’acides aminés.
• Le thé vert est un puissant anti-oxydant aidant à combattre, le cancer, le vieillissement cutané, et bien d’autres maladies du quotidien grâce à sa concentration de catéchine.

Le bento (lunch set) est un assortiment de plats (sashmi, tempura, gyoza, etc…) servis dans un coffret en bois laqué. Il est généralement consommé au travail ou à l’école pour le déjeuner. C’est un repas complet et équilibré.

La nouvelle cuisine japonaise (riche en oméga 3) a donc pour base, la cuisine traditionnelle japonaise, mais allie aussi esthétisme, goût et bien-être.

Il existe par ailleurs, des régimes à base de cuisine japonaise. Il est possible de les consulter dans des livres culinaires, ou encore sur le net.

Les boutiques d’alimentation japonaise se situent un peu partout dans l’hexagone, mais aussi en ligne.